Le contrôle d’accès identifie les utilisateurs en vérifiant plusieurs identifiants de connexion, notamment le nom d’utilisateur et le mot de passe, le code PIN, des scans biométriques et des tokens de sécurité. De nombreux systèmes de contrôle d’accès comprennent également une authentification multifacteur, une méthode qui nécessite plusieurs méthodes d’authentification pour vérifier l’identité d’un utilisateur. Une fois qu’un utilisateur est authentifié, le contrôle d’accès lui donne le niveau d’accès adapté et l’autorise à effectuer certaines actions liées à son identifiant et à son adresse IP.
Il existe quatre types de contrôle d’accès. En général, les entreprises choisissent la méthode la plus logique en fonction de leurs besoins uniques en matière de sécurité et de conformité.
Contrôle d’accès discrétionnaire (DAC)
Modèle de gestion des droits d’accès aux ressources (système, données, etc.) où l’accès est déterminé par le propriétaire de la ressource (droits de lecture, écriture, exécution, etc.). Méthode moins recommandée pour des systèmes critiques nécessitant un contrôle strict.
Contrôle d’accès obligatoire (MAC)
Modèle non discrétionnaire où les utilisateurs bénéficient de l’accès en fonction d’informations fournies. Une autorité centrale régule l’accès en fonction de différents niveaux de sécurité. Modèle courant dans les environnements administratifs et militaires.
Contrôle d’accès basé sur des rôles (RBAC)
Modèle avancé de gestion des droits d’accès, où les permissions sont définies en fonction d’attributs spécifiques associés aux utilisateurs, aux ressources, ou aux actions. Flexible et puissant, il est idéal pour les environnements complexes et dynamiques.
Contrôle d’accès basé sur des attributs (ABAC)
Dans cette méthode dynamique, l’accès est autorisé en fonction d’un ensemble d’attributs et de conditions environnementales, telles que l’heure et le lieu, affectés à la fois aux utilisateurs et aux ressources.
Dans cette méthode dynamique, l’accès est autorisé en fonction d’un ensemble d’attributs et de conditions environnementales, telles que l’heure et le lieu, affectés à la fois aux utilisateurs et aux ressources.